Samedi 27 août
Groupe 7
C’est pas tous les jours qu’on voit un groupe changer de nom live dans nos faces (en ajoutant tout simplement une lettre à la fin). Ce quatuor surf-rock nous a ramené.e.s au milieu des années 2010, à l’époque où illes faisaient la pluie et le beau temps au Cercle. Beaucoup de plaisir avec les harmonies vocales et les riffs accrocheurs, sans compter le beat, qui était ben bon. Du fun sans chichis ni flaflas, de la musique qui pognerait dans les campus radios de partout sur la planète, un projet toujours aussi efficace qui, tel un phénix qui vient de se retrouver, renaît de ses cendres pour nous décrasser les oreilles.
Groupe 8
WOW! Un de nos duos préférés débarque dans la place, pis à voir l’heure, ça sera pas Saratoga qui va nous rocker ça dans le piton! Non, ce sont les spécialistes du traitement choc qui nous jouent leurs plus grands hits et qui nous font danser joyeusement, allant même jusqu’à provoquer un autre de ces doux moshpits dont seul le Pantoum a le secret. On a beau être à la fin de l’été, on a eu le diable du printemps au corps, on a invoqué plein de dieux et de déesses du rock (contrairement au FEQ, ceux-ci n’ont pas répondu par un orage intense après le show et on les remercie), on s’est shaké le popotin sur un des quelques #momentsflûte de la fin de semaine, tout ça dans une ambiance bon enfant. Un autre moment fort du week-end, et on espère revoir ces deux amours-là à l’intérieur des murs du Pantoum bientôt.
Groupe 9
Fallait bien finir cette troisième soirée haute en couleurs avec quelque chose de dignement représentatif. Quelque chose qui nous ferait danser sans fin. Un groupe vraiment chummy chummy avec Le Pantoum, avec lequel il partage des tonnes d’atomes crochus. Un groupe disco-pop à la chanteuse charismatique, mais où on a autant de fun à la regarder bouger et chanter qu’à regarder le grand roux jouer des bongos ou le guitariste pas mal motivé. On a fait beaucoup de voyages (amoureux). Cet aller-retour en Concorde était magnifique, et il s’est terminé sous une pluie de bulles (non, pas les mêmes qu’à cette fameuse soirée disco-bulles au Bistro+ où on avait été charmé.e.s en titi). Que du bonheur.