Le Pantoum a célébré ses dix ans dans la joie et l’allégresse

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Vendredi 26 août

Groupe 4

Venu de Montréal pour l’occasion, ce septuor pop-rock bien funky nous a montré pourquoi il fait bonne impression depuis son passage au Cabaret Festif 2019. Des chansons aux textes colorés, dans un vocabulaire que même votre tante Pierrette comprendrait, et aux musiques pleines de vie, qui feraient même shaker le popotin de la personne la plus plate de votre entourage. Des envolées instrumentales à chaque détour par des musicien.ne.s qui ont tous les talents. Une section rythmique qui donne le goût de se donner des tapes dans les mains. Des contrastes dans les voix, à la fois sages et puissantes. De quoi satisfaire les chasseurs de tournades les plus exigeants.

Groupe 5

Il aura fallu attendre presque la moitié de ce mini-festival pour voir un des fondateurs du Pantoum monter sur scène avec son projet le plus sexy (en fait, ils étaient DEUX fondateurs sur scène). Composé de membres ancien.ne.s et actuel.le.s, le groupe a fait le tour de son répertoire, nous offrant l’occasion de nous rappeler à la fois de nos premières fois et de nos deuxièmes chances. Le groove était irrésistible, la chimie sur scène était palpable (c’est le fun, les retrouvailles). Les voix se mélangeaient joyeusement, et on avait une envie irrésistible de danser sexü.

Groupe 6

De sexü, on est passé.e.s à « Sexy ». Lui, on aura beau ne pas vous dire qui il est, vous allez le deviner immédiatement quand on va parler de son pad, de sa moustache et de sa flamboyance qui n’a d’égal que ses costumes. Lui qui nous avait dit plus tôt qu’il était au chalet de ses ancêtres, le voilà dans le stationnement du Pantoum au plus grand bonheur de SA nation. Une de ses plus petites foules de l’été (capacité oblige parce qu’on pense que toute la ville se serait déplacée pour le voir). Un show en famille où tout le monde connaît les paroles par coeur. Des soli endiablés du guitariste, des choeurs enivrants, un batteur qu’on a déjà vu quelque part et le bassiste le plus groovy de Québec. Tout le monde pris par la force d’Éros, on a fait l’amour sans relations sexuelles. C’était beau, ça a fait du bien.

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