Conclusion
Et voilà! Cinq soirées pleines de musique comme dans le temps. Mais le Phoque OFF, ce n’était pas que ça. Ça a aussi été des conférences (dont une fort intéressante sur les communications avec les médias, où notre Marie-Ève nationale a donné plein de bons trucs aux artistes qui souhaitent s’adresser à nous), des cinq à sept, des vitrines à toute heure du jour ou de la nuit, et plus encore!
On lève notre chapeau à l’équipe du Phoque OFF qui a réussi à monter rapidement un événement virtuel de la plus grande qualité. On remercie Caroline et Audréane pour leur accueil chaleureux pendant les captations. Et Ophélie, qui nous a ouvert toutes les portes. C’est grâce à ce trio incroyable que nous avons pu documenter en images (plutôt qu’en saisies d’écran) les moments forts de notre semaine. Un gros shout out aussi à Patrick (qui peut enfin dormir), Vincent, Johanie, Noémie et tout le reste de l’équipe de crinqué.es qui ont rendu le Phoque OFF possible.
Sur un plan plus personnel (c’est Jacques qui parle), j’aimerais remercier nos photographes (Carbo, Léo, Marion, Mathieu et moi) et nos rédacteur.ices (Charles, Marie-Ève, Mona, Vincent et you know who) pour leur travail acharné. On est passés de « rien à faire pantoute » à deux semaines de gros rush. Merci aussi à Sébastien, qui est resté dans l’ombre, mais qui a coordonné toute cette job-là pendant que je courais comme une poule pas de tête (parce que le terrain me manquait énormément).
On se dit « À l’an prochain » pour une édition qui sera EN PERSONNE. On vous le garantit. Pis si y’a une guerre nucléaire totale d’ici là, dites-vous qu’Élégie va être là pareil pour tenir le fort, même si tout le reste de l’humanité est rayé de la carte. On est crissement mal barré.es, hein?
(Ci-dessous, quelques photos de vitrines qu’on a manquées…)