Pendant que mes ouailles prenaient un petit break, question de se préparer pour l’intense fin de semaine qui débute (vous savez qu’on couvre deux festivals en même temps, hein?), je suis allé faire un petit tour sur les scènes gratuites du Festival d’été de Québec, question de faire quelques découvertes et me rendre compte que j’ai beau rien connaître du rap, des fois, j’aime ben ça!

Au lieu de vous faire un article complet, je vais juste vous raconter rapidement ma soirée avant de vous présenter les photos :

Tout d’abord, j’ai vu Maïa Barouh sur la scène Hydro-Québec. Quelle belle artiste que cette autrice-compositrice-interprète et flûtiste franco-japonaise qui mélange les musiques traditionnelles du japon aux rythmes électro et jazz! Barouh m’a jeté par terre avec sa présence scénique théâtrale et ses moments flûte à tout casser. C’était rythmé, c’était chaud, et c’était surtout très bon. J’en aurais pris trois caisses!

Ensuite, je suis descendu à place d’Youville pour voir Joe Rocca et Greendoodz. Le premier, membre fondateur de Dead Obies, ne m’était pas inconnu, mais j’avais pas vraiment suivi ce qu’il fait en solo. Oh my God! C’est un maudit beau mix de rap, de R&B et de pop, son affaire. Mélodiquement, c’est d’une grande sensibilité, pis sérieusement, j’ai adoré. Pis Rocca a un charisme fou!

De son côté, Greendoodz était explosif, et lui aussi mélangeait bien les genres. Y’a un p’tit fond emocore dans l’oeuvre de l’artiste originaire d’un p’tit village de Lanaudière, et sur scène, ça sort encore plus! Là aussi, j’ai bien aimé.

Bon, on vous laisse avec nos photos!

Galerie photos

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Maïa Barouh – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Joe Rocca – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin

Greenwoodz – Photo : Jacques Boivin