On est sincèrement désolé pour Sluice et Élégie, Stéfanie a dû quitter plus tôt en raison de petits soucis de santé (ne vous inquiétez pas, elle va bien, comme vous pourrez le voir dans ses comptes rendus post Phoque OFF). ON A QUAND MÊME DES PHOTOS DE VOUS AUTRES, les p’tits bums!
Hate it too
Comme on peut s’y attendre d’un groupe de musique punk rock, sont présents sur la scène de l’Anti : deux guitares, une basse et une batterie. Quatre gars enjoués s’en emparent et ça y est, ça rock en crime dès le début du spectacle. Le band chante en chœur, ça sonne comme un chant mélodieux vraiment fun à entendre au rythme des guitares. Tous les morceaux sont très rythmés à se pencher par avant et s’étirer le cou par en arrière. Le public s’entasse de plus en plus. C’est du punk rock bien assumé. L’appariement des guitares et des voix au rythme du drum et de la basse bien ficelés est irréprochable. Ils ont offert une vitrine efficace avec beaucoup d’entregent et une belle finale avec des riffs de rock bien rôdés.
Alix Fernz
C’est la première fois qu’Alix Fernz se produit à Québec. Il débute sur scène en saluant son public. Son énergie et son esthétisme sur scène sont déjantés. Il tient son microphone dans la bouche pour se déplacer, il danse avec, le tire en lasso. Le micro devient un jouet avec lequel il s’amuse. Il se jette par terre lors de sa prestation, nous amenant dans un post-punk sinueux dont nous attendons avec curiosité quelle direction prendra la musique. À chaque moment, les guitares s’accordent étrangement bien avec les mélodies des synthétiseurs. Alix Fernz a performé à l’Anti une excellente vitrine qui nous laisse en appétit de le voir de nouveau sur scène.
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