Pomme s’est présentée devant moi sur la scène de l’Anti Bar & Spectacles. Je l’ai connue avec la pièce Rusty, qu’elle a reprise avec l’auteur original, nul autre que Hein Cooper lui-même, et qu’ils ont jouée ensemble vers la fin du spectacle de Hein. Tout cela pour en revenir à la voix remplie d’émotions de Pomme qui parfois ressemblait presque à un chant d’oiseau, surtout sur la pièce De là-haut. Il y avait une telle douceur et fragilité dans sa voix que le public était plus attentionné et silencieux que jamais. J’ai eu un énorme faible pour la pièce La lavande. Si vous ne la connaissez pas, je vous suggère fortement l’écoute de son album À peu près. [embed]https://open.spotify.com/album/6wbpJmBEEZuRrFYxwDE2R9[/embed] Quelques minutes après, Hein Cooper, du haut de ses 6 pieds 5 (j’exagère à peine), est arrivé en force et seul avec ses instruments. Il nous a chanté bien fort avec une gesticule extravertie la pièce Is This the Real. Je l’ai trouvé bien intense pour commencer, mais en même temps, ça a très bien cassé la glace. Comme Hein l’a mentionné, on ne se sentait pas du tout comme si c’était un lundi soir, avec de la bonne bière et un spectacle de musique dans un bar. Il a profité de son court passage au Québec pour nous jouer sa nouvelle pièce The Fear of Missing Out ainsi qu’une autre plus disco dont le titre n’a pas été nommé. Après So I Remember, il a fait siffler les gens sur Overflow. Je vous jure, on était tellement bon qu’il a dit vouloir nous enregistrer comme chorale de siffleurs sur son prochain album. O.K., on s’est peut-être fait berner, mais c’était drôle. Il a terminé avec la chanson The Art of Escape, et la dernière note m’a donné des frissons pendant une heure. Quelle prestance il a, ce Hein! [gallery link="file" td_select_gallery_slide="slide" ids="52062,52063,52064,52065,52066,52067,52068,52069,52070,52071,52072,52073,52074"]
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