Poésie Automatique, la très garage Ciao Bye Ciao ainsi qu’une « nouvelle vieille » L’idole qui semble-t-il n’avait toujours pas été présentée en concert. Vers la fin de leur (trop?) bref, mais très efficace passage ils nous ont servi une deuxième véritable primeur qui laisse présager une excellente suite (pour 2017 on l’espère!) à La réalité nous suffit paru il y a presque 2 ans. Ce sera sans doute un pas de plus vers la consécration pour ce groupe qui a su développer un son fort pertinent et distinctif dans cet océan de groupes rock. En ouverture Machines Géantes défendait les pièces de son dernier EP intitulé Mauve. Si mélodiquement c’est un peu convenu, le chanteur Rémi Letendre ne lésinait pas en énergie pour faire réagir les spectateurs présents. Certaines pièces sortent du lot comme l’Horloge servit en fin de programme, mais globalement ça reste un peu homogène. The Hazytones poursuivait la soirée avec un programme tout à fait dans la lignée du thème de la soirée. La recette fuzzée fonctionnait à merveille et leur rock-stoner aux accents psychédéliques était une excellente façon de donner une appréciable dose de décibels aux spectateurs. Leur premier album éponyme est paru l’automne dernier et il saura ravir les amateurs de riffs pesants. Ce fut donc une agréable soirée de rock et surtout une belle mise en bouche pour le suite de l’aventure Ponctuation…]]>