Mon histoire d’amour avec l’artiste Julyan dure depuis quelques années déjà. Juste avant « l’événement mondial dont on ne doit pas prononcer le nom », j’avais postulé pour être rédactrice pour ce blogue et un des premiers spectacles que j’ai couvert était celui de Julyan, lors du festival Phoque Off. J’étais déjà admirateur de ces autres projets (The Seasons, Forest Boys), donc j’étais très excitée de le découvrir dans son tout premier projet solo. J’ai été charmée (et je le suis encore).
C’est avec ce sentiment nostalgique que j’ai débuté ma soirée. Une impression particulière de retrouver quelque chose qui s’est transposée dans le temps.
Julyan s’est présenté, le 29 au soir, en formation « full band » au STUDIOTELUS, pour une des « dernières fois avant la sortie de son album ». Les premières chansons étaient celles déjà sorties sur les plateformes numériques. Malgré mon écoute religieuse de ces chansons lors de leur sortie, en faire l’expérience en salle est toujours plus immersif qu’avec nos écouteurs.
Je me laisse donc entrainer dans les différentes ambiances pop, parfois un peu plus rock, parfois un peu plus soul, mais toujours mélodieusement envoutantes. Allant de mélodies plus douces, à l’acoustique, passant au piano et aux présentations full band, cette soirée nous a transportés dans l’intimité d’une chambre à coucher, jusqu’au tout-inclus dans le Sud. La soirée se termine avec des rappels et un public debout, chantant et dansant avec le band dans une ambiance festive et un étrange arrière-gout de Pina Colada
Les spectateurs et moi-même avons aussi eu la chance d’entendre l’intégralité des chansons de son prochain album, puisque c’est ce qu’il nous a préparé pour cette soirée spéciale. Je ne les décrirai pas spécifiquement, puisque la première chose que je veux vous inciter à faire à sa sortie, c’est d’aller l’écouter et l’acheter. Sachez cependant que mon amour pour l’artiste et sa musique ne fait que commencer et que je serai une des premières à me procurer ce nouvel album.
D’ici là, j’ai encore 2-3 mélodies qui roulent dans ma tête pour m’aider à patienter.
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