Matt Holubowski – PopUpFEQ, Lauberivière
[caption id="attachment_61006" align="alignright" width="300"] Matt Holubowski – Photo : Jacques Boivin[/caption]
Belle idée de la part des organisateurs du Festival d’été que de programmer un PopUpFEQ à Lauberivière en pleine heure du lunch! Les curieux se mêlaient aux clients réguliers pour ce dîner-bénéfice à contribution volontaire, qui forçait le public à côtoyer ces personnes qu’on essaie tant d’éviter tous les autres jours! Et c’est à Matt Holubowski qu’on a demandé de jouer pendant cette courte prestation, avec deux de ses musiciens. Choix intéressant quand on connaît la folk-pop douce, apaisante et lumineuse du musicien! Un peu de coeur, ça a fait du bien! (Jacques Boivin)
Gilles – Scène Fibe
[caption id="attachment_61012" align="alignleft" width="300"]Ziskakan – Scène Hydro-Québec
[caption id="attachment_61016" align="alignright" width="300"]Jérôme St-Kant – Scène Fibe
[caption id="attachment_61025" align="alignleft" width="300"]Les Goules – Scène Bell
[caption id="attachment_61041" align="alignright" width="300"]Pour voir le visage incrédule de quelques festivaliers qui n’avaient jamais entendu parler des Goules…
Pour entendre Keith Kouna se moquer sans ménagement des mesures de sécurité avant les événements sur les Plaines…
Pour rêver avec le chanteur des fameuses beuveries qu’a connu les Plaines à l’époque où on laissait le monde faire le party…
[caption id="attachment_61037" align="alignleft" width="300"]Pour lever nos verres de “délicieuse” Coors Light à tous les Piranhas…
Pour réaliser que quelques parents ont comme moi profité de l’occasion pour faire découvrir à leurs rejetons comment faire le party dans un coin plus sombre de l’humanité…
Pour apercevoir à l’écran les irréductibles chanter à tue-tête le refrain de Crabe…
[caption id="attachment_61044" align="alignright" width="300"]Pour se laisser convaincre par Kouna que le groupe va jouer sa seule chanson d’amour avant d’entamer Pendaison à coup de “on va te pendre mon gros tabarnak”…
Pour se demander au début de Ville si Rabin Kramaslabovitch allait oser son traditionnel solo de couille gauche (il l’a fait) et surtout comprendre que les médias locaux le lendemain ne savent pas faire la différence entre un pénis et un testicule…
Pour toutes ces raisons, il fallait être sur les Plaines hier soir et célébrer l’avènement de l’empire des Goules. (Julien Baby-Cormier)