ce compte rendu? Puis celui-ci? Et celui-là? Et bien sûr celui-ci? Puis celui-là? On s’est dit qu’on allait vous montrer autre chose.
Mansfield TYA
[caption id="attachment_29767" align="alignleft" width="300"] Mansfield TYA – Photo : Jacques Boivin[/caption]Découverte intéressante hier sur la scène FIBE Coeur du FEQ avec Mansfield TYA. Le duo français féminin, tout de noir vêtu, nous a fait pénétrer dans son univers romantico-mystique et, disons-le, plutôt éclectique pour les non-initiés par ses ballades franco et anglo tantôt lourdement électro, tantôt a capella – ou presque. Armées de leurs jolies voix et de synthétiseurs, d’un violon et d’une basse, papillonnant de l’un à l’autre sans difficulté, elles ont réussi à faire planer la foule pendant une bonne partie de leur prestation notamment grâce à des harmonies vocales hypnotisantes. À réécouter pour mieux apprivoiser! (Tatiana Picard)
Casual Rites
[caption id="attachment_29798" align="alignleft" width="300"] Casual Rites – Photo : Jacques Boivin[/caption]Après avoir descendu la côte et fait un détour par l’Impérial (question de voir Brown quelques minutes – photos à l’appui), nous posons nos sacs au sympathique District St-Joseph. Les membres de Casual Rites (transformé en Frites pour l’occasion) livrent un rock propre et efficace en veste de jean. Une brassière leur a été lancée dès le début du spectacle, ce qui les a légèrement déstabilisés, mais ils ont su reprendre le groove et les harmonies de leur rock classique.
[caption id="attachment_29809" align="alignleft" width="300"] Casual Rites – Photo : Jacques Boivin[/caption]Devenus des stars à Toronto depuis la sortie de leur dernier clip Long time (une belle job de Sébastien Corriveau), les rockeurs nous ont servi plusieurs nouvelles compositions intitulées #4, #5, Spaceship et (on croit) #6. Les nombreux solos de guitare de Phillipe Matte nous ont permis de nous exciter le poil des jambes et un solo à la batterie constituait presque une chanson à lui tout seul. Ce dernier, exécuté par un Pascal Denis emballant, nous ont fait apprécié le talent des musiciens, épaulé par Mike Morris à la basse et Nathan Vanheuverzwin aux claviers. Les nombreux spectateurs semblaient ravis de leur choix du soir, allant même jusqu’à enterrer Koriass pour manifester leur enthousiasme. (Marie-Laure Tremblay)