Galaxie (Photo : ecoutedonc.ca)[/caption] Il faisait chaud ce vendredi à l’Impérial Bell! L’endroit était plein à craquer pour accueillir Galaxie, notre groupe de dieux du rock bien à nous venu nous interpréter les chansons de Zulu (et quelques vieux classiques, quand même!). Olivier Langevin et son band de feu n’ont pas perdu de temps à faire résonner les « Christ que c’est bon! » chez des spectateurs visiblement heureux de manger une tonne de briques en plein visage. Sans perdre de temps, Galaxie lance Zulu, la pièce-titre de l’excellent album paru tout récemment. Le public est en délire et danse comme si tout le monde allait mourir à minuit! Ça se déhanche, ça se déchaîne, l’apocalypse est à nos portes et on s’en fout parce que Dragon suit. Le diable a donné le beat à près de mille personnes qui vraiment, n’y pouvaient rien. Langevin pose (autant pour la foule que pour l’auteur de ces lignes qui, au lieu de le prendre en photo, répond par ses propres cornes du Diable!) et joue la rockstar (jouer? IL EST une rockstar). Fred Fortin groove avec sa grosse basse. Pierre Fortin utilise ses réserves inépuisables d’huile de coude pour taper joyeusement sur sa batterie. Frank Lafontaine trippe derrière sa quincaillerie comme il le fait toujours. Suit Camouflar, un des gros titres de Tigre et diesel. La foule est en délire et chante le refrain en chœur. Des centaines de cœurs qui explosent et font bang bang. Les tournées de gin tonic se succèdent sur la scène. Les solos de guitare sont magnifiques, notamment sur Robot Lynx. Langevin a pensé aux fans de la première heure et intègre quelques chansons de l’époque Galaxie 500. Deux moshpits se forment au parterre. Ça brasse joyeusement. Ça surfe longtemps. La tempête rock gronde et met le feu à l’Impérial Bell! Piste 1, Shanghai… quoi? Déjà une dernière? Voyons! On regarde l’heure : quoi? Ça fait déjà plus d’une heure que Galaxie se défonce pour notre plus grand plaisir? Heureusement, le rappel est généreux et Langevin donne tout ce qui lui reste à la guitare, et plus encore. Un groupe en feu, des lasers… ne manquait que la pleine lune et les hurlements de loup. Les sourires étaient grands à la sortie! Furhats + Lubik La formation Furhats avait l’honneur d’ouvrir le bal avec son rock solide qui a tôt fait d’enflammer les spectateurs présents. On a bien aimé. Quant à Lubik, son gros blues rock abitibien a fait plaisir aux fans sur le parterre, qui semblaient bien connaître les chansons du groupe. Bon, comme d’habitude, on a des photos. Crédit : ecoutedonc.ca/Jacques Boivin [gallery type="rectangular" ids="5044,5045,5046,5047,5048,5049,5050,5051,5052,5053,5054,5055,5056,5057,5058,5059,5060,5061,5090,5091,5092,5093,5094,5095,5096,5097,5098,5063,5099,5089,5041,5042,5062,5064,5065,5066,5067,5068,5069,5070,5071,5072,5073,5074,5075,5076,5077,5078,5079,5080,5081,5082,5083,5084,5085,5086,5087,5088"]]]>