Eagles of Death Metal et Death from Above 1979 n’était pas Turbowolf, mais bien The Yardlets ! Les interwebs m’ont malheureusement induit en erreur, désolé ! [caption id="attachment_25533" align="alignnone" width="2048"] crédit photo : Jay Kearney[/caption] Le groupe de Montréal a servi au public de l’Impérial Bell une très honnête prestation dans un style rock garage/grunge bien pesant. Plusieurs des compositions du groupe me rappelaient en effet les chansons plus « punk » des premiers albums de Nirvana (la voix déchirée à la Kurt en moins). On aurait aimé une performance moins timide, mais The Yardlets était définitivement un bon choix de groupe d’ouverture. [caption id="attachment_25532" align="alignnone" width="2048"] crédit photo : Jay Kearney[/caption] Vint ensuite le tour des Eagles of Death Metal. [caption id="attachment_25510" align="alignnone" width="2048"] crédit photo : Jay Kearney[/caption] Difficile de ne pas parler de Jesse Hughes la bête de scène : le moustachu est un sacré numéro et sait comment conquérir un public. [caption id="attachment_25519" align="alignnone" width="2048"] crédit photo : Jay Kearney[/caption] [caption id="attachment_25514" align="alignnone" width="2048"] crédit photo : Jay Kearney[/caption] Le groupe a interprété la plupart de ses titres à succès, notamment « complexity », « save a prayer » (reprise d’un classique de Duran Duran) ou « I only want you », titres tout aussi entrainants – et caricaturaux – les uns que les autres. Le public a également eu droit à une guerre de solos entre Jesse et Dave qui s’étaient perchés sur les balcons de l’Impérial. Divertissant ! [caption id="attachment_25521" align="alignnone" width="1365"] crédit photo : Jay Kearney[/caption] Pour clore la soirée, les gars de Death from Above 1979 allaient nous balancer leur violente musique (rock/grind/drum n’ bass/garage (???)) à la figure. [caption id="attachment_25504" align="alignnone" width="2048"] crédit photo : Jay Kearney[/caption] Je me disais qu’il leur serait bien difficile de livrer un spectacle plus fulgurant que celui d’il y a quelques années, au Pigeonnier, à la suite de nos Malajube et Galaxie nationaux, orage électrique en sus. Force m’a été de constater que le duo torontois n’a toutefois pas à envier à Mère Nature le volume de ses coups de tonnerre : une performance impeccable et « volumineuse » qui a très certainement réveillé le dimanche soir du public. [caption id="attachment_25490" align="alignnone" width="2048"] crédit photo : Jay Kearney[/caption] [caption id="attachment_25496" align="alignnone" width="1365"] crédit photo : Jay Kearney[/caption] [gallery type="rectangular" ids="25539,25487,25538,25537,25536,25535,25534,25533,25532,25531,25530,25529,25528,25527,25526,25525,25524,25523,25522,25521,25520,25519,25518,25517,25516,25515,25514,25513,25512,25511,25510,25509,25508,25507,25506,25505,25504,25503,25502,25501,25500,25499,25498,25497,25496,25495,25494,25493,25492,25491,25490,25489,25488"]]]>