Galaxie a été le troisième groupe à se produire sur la nouvelle scène du Cabaret de l’Amphithéâtre Cogeco le 8 avril dernier ! C’est le micro bien bas, fidèle à son habitude, que Langevin a fait des « fentes squats » toute la soirée en chantant et en jouant de la guitare. C’est avec la pièce titre de leur plus récent album, Zulu, qu’Olivier Langevin et ses acolytes sont embarqués sur scène. Il n’aura fallu que de 10 secondes, et j’exagère, à la foule pour lever les bras en l’air et danser avec intensité sur cette pièce et sur toutes les autres du spectacle sans relâche. Les musiciens ont beaucoup échangé entre eux, mais aussi avec le public malgré un peu de bourdonnements des gens pas mal sur le « party » qui discutaient dans la salle. Cela n’a toutefois pas empêché le public d’avoir du plaisir avec la gang de Galaxie. Cette soirée-là, j’ai vraiment senti une ambiance de « on s’amuse et on oublie demain », si vous voyez ce que je veux dire. Une soirée où tout est permis, où les vieux se mélangent aux jeunes, où les artistes deviennent nos grands « chums », bref, une soirée où s’installe une légèreté de vivre et une envie de se laisser bercer, ou plutôt brasser, par le rock. L’un des bons moments du spectacle a certainement été le bout ou le claviériste, François Lafontaine, s’est amusé à nous parler en « robot » en modifiant sa voix avec ses instruments. Ce qui s’est dit pendant ces cinq minutes-là ne se dit pas hors contexte. En fait, je pense que même le groupe ne s’en rappelle pas tellement que c’était des niaiseries. J’avoue que, en allant voir Galaxie, je m’attendait à débuter ma soirée du bon pied, mais jamais à ce point-là! J’espère vraiment les revoir en Mauricie bientôt. ]]>